Objet d’un véritable psychodrame élyséen, Le Vladivostok, le bâtiment de projection et de commandement, de type Mistral que la France devait livrer à la Russie, en vertu d’un contrat signé en 2011, a été délesté d’une partie de son équipement électronique et de transmission ; un investissement de haute technologie réalisé par Thales. Les faits seraient survenus le 25 novembre dernier, au port de Saint-Nazaire où le bâtiment se trouve amarré. C’est ce que rapporte le journal Le point dans son édition d’hier. « Selon les premiers éléments de l’enquête confiée à la police judiciaire de Rennes, aucune trace d’effraction n’a été relevée. Aucune hypothèse n’est pour le moment privilégiée. Le début des investigations concerne néanmoins l’environnement immédiat du navire » ajoute la rédaction du journal.
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