À l’origine, les chercheurs de l’université de Zurich, en Suisse, voulaient juste vérifier la stabilité des biomarqueurs, lors des vols spatiaux, y compris au moment de la rentrée dans les couches denses de l’atmosphère où les températures peuvent culminer à 1 000° Celsius (1 832 Fahrenheit). Pour confirmer ou infirmer les différentes hypothèses proposées comme […]
archive | novembre 27, 2014