Selon des documents découverts par la police de Düsseldorf au domicile du copilote allemand, celui-ci avait été mis en arrêt de maladie, par son médecin traitant, pour dépression nerveuse, du 16 au 29 mars courant. Le 24 mars dernier, jour du crash, il ne devait donc pas se trouver dans le cockpit. Andreas Lubitz aurait caché son incapacité de travail à ses collègues et à sa hiérarchie.
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