Dans le monde, après le pic du 8 janvier dernier, journée au cours de laquelle on a enregistré 845 696 cas confirmés, le nombre de quotidien de patients contaminés est en baisse constante avec néanmoins quelques rebondissements. Le 14 février courant, le nombre de personne infectées a dégringolé à 304 469 cas (-64%), légèrement moins que celui du 6 octobre dernier (314 899 cas) date à partir de laquelle la situation semblait hors de toute maitrise possible.
Le nombre de morts attribués à la Covid-19 a, lui aussi suivi la même tendance. En la matière, depuis le début de la pandémie, la journée la plus meurtrière fut celle du 20 janvier 2021 avec un très lourd bilan quotidien de 17 598 décès. Ce mardi 15 février on a enregistré seulement 6 700 morts (-62%), légèrement moins que de bilan du 8 octobre dernier, date à partir de laquelle la courbe a, là aussi, commencé à s’emballer.
S’agissant des décès, on sait aujourd’hui qu’ils ne sont tous pas dus exclusivement à la Covid-19, mais à une combinaison de celle-ci avec d’autres pathologies.
Ce mardi, le nombre total de cas enregistrés, depuis le début de la pandémie, dans le monde est de 110 032 334, mais 84 848 131 patients sont guéris. À 2 427 707 décès, le nombre cumulé de vies fauchées par la Covid-19, frôle, à présent, les 2,5 millions de morts et le nombre de cas critiques avoisine les 100 000 patients.
Aussi bien en termes de cas qu’en termes de décès, le mois le plus terrible, depuis le début de la pandémie, restera celui de janvier 2021. Mais les infections ne sont pas dues qu’au premier virus, le R0. Depuis, il y a eu le « Quatre », le « Un », le Sud-africain, l’Anglais… avec des épidémiologies complètement différentes ; ce qui fait dire à certains scientifiques qu’il ne s’agit pas de vagues successives, mais d’autres maladies qui se succèdent.
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