Pas moins de 57 sénateurs sur 100 ont voté la destitution de l’ancien président américain dont le mandat s’est terminé le 20 janvier 2021. Pour autant, Donald Trump ne sera pas destitué, car, il fallait à ses adversaires démocrates, deux tiers des voix, soit 67 votes pour que cette sentence soit prononcée. Outre les 50 sénateurs démocrates, les républicains, Richard Burr (Caroline du nord), Bill Cassidy (Louisiane), Susan Collins (Maine), Lisa Murkowski (Alaska), Mitt Romney (Utah), Ben Sasse (Nebraska) et Pat Toomey (Pennsylvanie) ont voté pour la culpabilité du président sortant.
À l’issue de ce vote, Donald Trump a remercié les sénateurs qui lui ont apporté leur soutien.
« Cela a été une autre séquence de la plus grande chasse aux sorcières de l’histoire de notre pays », a, en outre, déclaré l’ancien locataire de la Maison-Blanche.
L’objectif visé par les démocrates, à travers cette destitution rétroactive, consistait à déchoir Donald Trump de toute possibilité de retour aux affaires. C’est peine perdue !
Quelle que soit la gravité de l’assaut contre le Capitole, comment peut-on, effet, raisonnable expliquer la volonté de déchoir le président Trump d’une partie de ses droits civiques alors qu’on déroule le tapis rouge, lors de chaque cérémonie officielle, à George W. Bush dont les aventures guerrières ont coûté, sans aucune raison, vie à plus d’un million d’Irakiens ?
Votre commentaire