Hier vendredi, on a enregistré 490 059 cas dans le monde. C’est le plus grand nombre de personnes déclarées atteintes de la COVID -19 en une seule journée, depuis le début de la pandémie. À ce jour, la journée qui totalisait le plus grand nombre des cas – 439 615 personnes testées positives- était celle du 21 octobre dernier. Aux États-Unis, pays où l’on recense le plus grand nombre de personnes atteintes – 8 746 953 cas depuis le début de la crise sanitaire mondiale-, le record du nombre cas quotidiens -79 012 personnes testées positives- jusque-là attribué à la journée du 24 juillet dernier, a été pulvérisé, hier, par un nouveau pic de 81 210 cas. Cela dit à 131 056 713 doses de réactifs utilisées, soit 67 593 unités pour un million d’habitants, les États-Unis restent le deuxième pays, après la Chine (160 000 000 de tests), qui teste le plus.
Viennent ensuite l’inde (54 028 cas quotidiens), la France (42 à32 cas), le Brésil (23 016 cas), le Royaume-Uni (20 530 cas), l’Espagne (19 851 cas), et l’Italie (19 543 cas).
La prudence est donc de rigueur, mais pas de panique, la journée la plus meurtrière reste celle du 17 avril dernier au cours de laquelle on avait enregistré 8 515 décès, de par le monde, pour 82 201 cas avérés soit un taux de létalité de 10,36%. Or ce vendredi, on n’a enregistré que 6 531 décès. Rapportée au nombre de cas confirmés, le taux de létalité dégringole ainsi à 1,33%.
Autrement dit, alors que le nombre de cas a augmenté du taux astronomique de 497,38%, le nombre de décès à quant à lui baissé de 23%.
Dahmane SOUDANI
MaghNord 
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