Dans son édition de ce vendredi, The New York Times relate que « cette semaine un fonctionnaire fédéral démis de ses fonctions, comme responsable d’une agence impliquée dans le développement de vaccins, s’est plaint d’avoir été l’objet des pressions pour approuver ces traitements sans preuves scientifiques suffisantes ». En fait, il s’agit de Rick Bright, le patron de l’agence Biomedical Advanced Research and Development Authority qui a été muté dans un autre département. « Je crois que cette mutation répondait à mon insistance pour que le gouvernement investisse les milliards de dollars alloués par le Congrès dans la lutte contre la pandémie de la Covid-19, dans des solutions sûres et scientifiquement approuvées, et non dans des médicaments, des vaccins et d’autres technologies qui n’ont pas de valeur scientifique », détaillait Rick Bright dans un long communiqué, publié mercredi.
Par ailleurs, l’Agence américaine de contrôle des produits alimentaire et médicamenteux – La Food and Drug Administration- a recommandé de n’utiliser les médicaments antipaludiques hydroxychloroquine et chloroquine que dans les essais cliniques ou dans les hôpitaux où les conditions de surveillance cardiaque des patients sont réunies.
Aux États-Unis de nombreux hôpitaux utilisent l’hydroxychloroquine associées à azithromycine -antibiotique- pour traiter les patients atteints de la covid-19.
Je suis certainement un survivant, car comme des millions de gens de par le monde j’ai pris de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine sans contrôle cardiaque pendant des des années et pour des périodes de plusieurs semaines chaque fois et la plupart du temps sans l’ordonnance médicale. J’en ai rétrospectivement froid dans le dos bien qu’il s’agissait de visiter des pays chauds…
L’interdiction de tout traitement médical semble avoir été la règle dans tout ce qui s’appelle occident, c’est donc l’immunité de groupe qui a été choisie par les dirigeants et ce « traitement » a été imposé sans expérience connue et sans essais en « double aveugle ».
Par ailleurs c’est le nombre de victimes par pays qui a été universellement choisi pour rendre compte des effets de la maladie. Ce nombre ne signifie rien et il semble que les dirigeants des pays développés ne font pas la différence entre un pays de 10 millions d’habitants et un autre de 100 millions.
Ce qui est impressionnant pour moi est l’unanimité des méthodes qui ont affecté la moitié de l’humanité dont le refus de traitement des malades qui devaient s’enfermer chez eux avec un « doliprane » en attendant l’éventuelle atteinte aigüe de la maladie.