Le 11 août 2015, les sondages donnaient Donald Trump perdant contre Hillary Clinton avec une différence de 14,2 points (52% contre 37,8 des intentions de vote).
Hier dimanche 7 août –soit environ, une année plus tard-, la différence toujours en faveur de la candidate démocrate, n’était plus que de 7,2 points (47,3 contre 40,1%). Le 27 juillet dernier, le milliardaire new-yorkais s’est même offert le luxe de distancer sa rivale de 1,1 point (45,6 contre 44,5%).
Ce qui est intéressant à observer, c’est qu’à chaque fois que l’un des deux candidats monte, l’autre dégringole ; ce qui laisse supposer que les évolutions sont beaucoup plus liées à des effets conjoncturels de campagne qu’à des intentions de vote figées. Ce sont plutôt des signaux que les électeurs envoient aux deux finalistes de la course à la présidentielle américaine.
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