Février 2014, des snipers ouvrent le feu, place Maïdan à Kiev, alors en pleine effervescence. Pas moins de 40 manifestants et 20 policiers furent tués par les tireurs à l’époque non identifiés. Les marionnettistes livrent alors à une presse consentante, pour ne pas dire complaisante, une information, selon toute vraisemblance conçue d’avance et profilé dans un packaging qui non seulement facilite sa consommation mais crée une addiction chez une partie du public.
La Russie et l’ancien président ukrainien élu Victor Ianoukovitch ont, à l’évidence, été mis à l’index. On connaît l’acharnement médiatique qui s’en était suivi, mais le doute n’a jamais quitté les esprits, y compris chez certains russophobes avérés.
C’est finalement Janusz Korwin-Mikke, le député européen et candidat à la présidentielle polonaise du 11 mai prochain qui vient de mettre fin à une partie des supputations. « Maïdan, c’est notre opération. Je siégeais au Parlement européen à côté du ministre estonien des Affaires étrangères Urmas Paet. Dans un entretien avec la chef de la diplomatie européenne de l’époque Catherine Ashton, ce dernier a reconnu que c’étaient nos gens qui, en réalité, avaient tiré sur la place Maïdan, et non ceux du président russe Vladimir Poutine ou de l’ancien chef de l’Etat ukrainien Viktor Ianoukovitch », révèle l’eurodéputé, cité par le portail polonais Wiadomosci. Face aux journalistes de Wirtualna Polska, Janusz Korwin-Mikke précise en outre « Oui, c’était aussi notre opération. On entraînait les snipers en Pologne ».
et qui pilotait cette main ?
Puis-je évoquer celles qui ont soutenu le nazisme le 21/11/2014 en assemblée générale de l’ONU, puis qui vient de donner 1,8 milliards d’euros au gouvernement de Kiev qui pour ainsi embaucher au poste de conseiller de l’armée ukrainienne, un nazi notoire recherché par Interpol ?