Nous ne sommes toujours pas autorisés à utiliser nos véhicules. Et c’est bien comme ça. Ça a permis de sauver des vies humaines. Il y a eu 15 accidents dans le Connecticut, depuis le début de la tempête, mais fort heureusement, il n’y a eu aucun décès. L’interdiction de circuler sera levée dans une heure.
Dans ces conditions de confinement civique, je vais donc vous raconter la suite de mes aventures avec la poudreuse. En ouvrant le garage, voici ce que j’ai découvert :
Voici ce qui est supposé être la voie carrossable :
Température : 24° Fahrenheit, soit -4,5° Celsius ; épaisseur de la couche de neige : 15,5 pouces soit 39,37 cm.
Avec le snow blower (chasse-neige, Chassou pour les intimes), le nettoyage de la piste est relativement rapide.
Sauf que lorsque les gaillards de la commune ont nettoyé la voie municipale, ils ont poussé un tas gros cailloux vers l’extrémité de la piste carrossable qui peuvent abimer la lame du brave Chassou. Il fallait donc faire l’équivalent de 2 mètres de profondeur à la pelle. Pas dramatique ! ça fait faire des exercices.
Autre problème, une partie de la neige qui était sur le toit, a été soulevée par le vent et est tombée sur la voie piétonne portant ainsi l’épaisseur à près de 24 pouces, soit 60,96 cm et à ce niveau Chassou patine et ne peu plus avancer. Il fallait donc réduite la hauteur à coups de pelle.
Fort heureusement, la palette généreuse de dame nature, nous gratifie parfois de belles créations :
Votre commentaire