En visite en Algérie, Jean Marc Ayrault, premier ministre Français a souhaité voir ce pays investir dans l’Hexagone. L’Algérie dispose de réserves de change dont l’estimation, faite en juin 2013, avoisine les 190 milliards de dollars. Une cagnotte, en cette période de disette financière, courtisée par plusieurs milieux financiers.
Alors que les autres pays arabes ont dilapidé leurs ressources dans le désastre de ce qu’il est convenu d’appeler « le printemps arabe », l’Algérie à pu préserver son potentiel en évitant ce cataclysme ravageur, mais aussi en évitant des placements hasardeux.
Le problème pour ce pays reste la mise en place d’une courroie de transmission durable entre l’accumulation tirée, essentiellement de la vente des hydrocarbures –ressources non renouvelables- et l’investissement intra-muros, tant national qu’international ; Une dynamique qui permettra à ce pays de créer plus de valeur ajoutée sur son territoire donnant ainsi naissance à un cercle vertueux pour l’emploi et la création de richesse par le travail.


Laisser un commentaire