8647, la combinaison qui peut coûter très cher à James Comey, ancien directeur du FBI

Cette association de chiffres serait un appel ou une incitation à l’assassinat du président Donald Trump.

James Brien Comey Jr., directeur du FBI de 2013 à 2017, veut-il l’élimination physique de Donald Trump, 47^e président des États-Unis ? À en croire l’un de ses posts et l’interprétation qu’en fait Tulsi Gabbard, directrice du renseignement américain, ça serait bien le cas. L’ancien patron du FBI a partagé sur son compte Instagram un montage en coquillage qu’il a depuis, retiré, révélant le nombre 8647. Dans les milieu mafieux 86 signifie la décision d’assassinat une personne et 47 désigne explicitement le 47^e président des États-Unis.

James Comey s’en défend en soutenant qu’il ne connaissait pas la signification de ces chiffres.  Ce à quoi Tulsi Gabbard réplique, sans ambages : « En tant qu’ancien directeur du FBI et ayant consacré la majeure partie de sa carrière à traquer des mafieux et des gangsters, il savait pertinemment ce qu’il faisait et doit être tenu pour responsable devant la loi. Nous soutenons pleinement l’enquête des services secrets sur les menaces proférées par Comey contre le président Trump. »

Réaction de la doxa ?

Il est difficile en effet d’admettre que M. Comey ne connaisse pas la signification de cette combinaison, comme il est tout aussi difficile de supposer qu’étant parfaitement conscient des conséquences de son acte, l’ancien directeur du FBI se soit lancé dans une simple provocation hasardeuse. Si le contenu de cette combinaison ne souffre d’aucune équivoque, que signifie réellement sa mise en ligne, provocation, simple plaisanterie de mauvais genre, incitation à passer à l’acte, appel au meurtre ou autre chose de plus grave encore ? L’avenir finira par nous le dire.

Au cours de sa campagne en vue la dernière présidentielle qui l’a porté au pouvoir, pour le deuxième fois, Donald Trump avait déjà échappé à deux tentatives d’assassinat.

La directrice du renseignement national américain se dit très inquiète pour la vie du président et n’exclut pas que l’ancien directeur du FBI soit incarcéré à l’issue de la procédure qui vient d’être lancée. Elle en veut pour preuve le sort du jeune homme âgé de 24 ans originaire de Lilburn (Géorgie) qui l’avait menacée, elle-même, de mort et qui, à présent, se retrouve derrière les barreaux

Le département de la sécurité intérieur a déjà ouvert une enquête, suivie de très près par les services secrets de la Maison-Blanche.

Tant sur le plan intérieur, qu’à l’internationale, Donald Trump et l’équipe de son administration bousculent, au quotidien bien, des dogmes de la doxa occidentale et ils sont tout à fait conscients qu’ils doivent s’attendre à des réactions des plus brutales.

Dahmane SOUDANI



































Dahmane SOUDANI



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Comey Jr., directeur du FBI de 2013 à 2017, veut-il l’élimination physique de
Donald Trump, 47^e président des États-Unis. À en croire un de ses
posts et l’interprétation qu’en donne Tulsi Gabbard, directrice du
renseignement américain, c’est bien le cas. L’ancien patron du FBI a partagé
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le nombre 8647. Dans les milieu mafieux 86 signifie la décision d’assassinat d’une
personne et 47 désigne explicitement le 47^e président des
États-Unis. James Comey s’en
défend en soutenant qu’il ne connaissait pas la signification de ces chiffres.  Ce à quoi Tulsi Gabbard réplique, sans ambages :
« En tant qu’ancien directeur du FBI et ayant consacré la majeure partie
de sa carrière à poursuivre des mafieux et des gangsters, il savait
pertinemment ce qu’il faisait et doit être tenu pour responsable devant la loi. Nous soutenons pleinement l’enquête des services secrets
sur les menaces proférées par Comey contre le président Trump. »Il est difficile
en effet d’admettre que M. Comey ne connaisse pas la signification de ces
chiffres, comme il est tout aussi difficile de supposer qu’étant parfaitement
conscient des conséquences de son acte, il se soit lancé dans une simple provocation
hasardeuse. Au cours de
sa campagne pour la dernière présidentielle qui l’avait porté au pouvoir, pour
le deuxième fois, Donald Trump avait déjà échappé à deux tentatives d’assassinat.La directrice
du renseignement national se dit très inquiète pour la vie du président et n’exclut
pas que l’ancien directeur du FBI soit incarcéré à l’issue de la procédure qui
vient d’être lancée. Elle en veut pour preuve le sort d’un individu de Géorgie
qui l’avait menacée, elle-même, de mort et qui, à présent, se retrouve derrière
les barreaux. Le
département de la sécurité intérieur a déjà ouvert une enquête, suivie de très
près par les services secrets de la Maison-Blanche.Tant sur le
plan intérieur, qu’à l’internationale, Donald Trump et l’équipe de son
administration bousculent au quotidien bien des dogme de la doxa occidentale et
ils sont tout à fait conscients qu’ils doivent s’attendre à des réactions très
brutales.