Dans le monde, à 175 499 personnes dépistées positives, ce dimanche, le nombre de cas est en baisse pour la deuxième journée consécutive. Ce mouvement limité du curseur est cependant enregistré par rapport au 2 juillet dernier la pire journée depuis le début de la pandémie (210 467 cas). En outre, il ne s’agit pas d’une tendance durable pouvant être prise en compte dans une évaluation sérieuse de la situation. À 3 572 morts, ce dimanche, le nombre de décès continue, en revanche à évoluer vers la baisse de façon plus régulière.
Parmi les pays les plus impactés par la crise sanitaire mondiale, ce dimanche, l’Espagne, la France et la Suède ne déclarent aucun cas nouveau.
Pour la deuxième journée consécutive, le nombre de décès a sérieusement dévissé aux États-Unis passant de plus de 600 à 250. Par ailleurs, pour cette journée du 5 juillet, l’Espagne, la France, la chine, la Suède et la Belgique ne déplorent aucun mort. En revanche, l’Inde qui enregistre 23 932 cas avérés, occupe, à présent, la troisième position derrière les États-Unis et le Brésil. La Russie qui brille par une très bonne maitrise de la mortalité, se retrouve ainsi en quatrième position.
Le Brésil déplore 535 morts et l’Inde 421. L’intensité de circulation du virus dans ces deux pays témoigne d’une évolution inquiétante de la pandémie dans les pays latino-américains, en Asie du sud, dans la péninsule arabique, en Asie mineure et à un degré moindre en Afrique (principalement du nord et du sud).
MaghNord 
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