Damas empêche des forces étrangères de venir s’installer à ses portes
L’armée syrienne que les média de l’empire s’évertuent, à coup matraquage incessant, à réduire à « l’armée du régime » est en passe de nettoyer Hadj al-Aswed, au sud-est de Damas, de la dernière poche de pus terroriste. Les groupes terroristes sont complètement encerclés et les voies de leur ravitaillement sont coupées. Avec cette nouvelle victoire sur les exécutants des basses besognes de l’état profond et de ses excroissances monarchiques du golfe, Damas sera à l’abri des tirs d’obus et la base aérienne Mezze pourra reprendre normalement ses activités. Après la ridicule tragi-comédie de la soi-disant attaque chimique de Douma (Ghouta orientale), il n’est pas exclu de voir le trio infernal ressortir encore un prétexte à la Colin Powell –rappelez-vous, avec son tube d’anthrax au Conseil de sécurité en février 2003- pour justifier un nouveau bombardement sur la Syrie et ainsi ralentir la progression de l’armée et remonter le moral des assassins intégristes, véritables mulets d’une stratégie qui les dépasse et de loin. À moins que les lieutenants de l’empire préfèrent réserver leur baroud d’horreur à la libération de d’Idlib (nord-ouest) par les forces gouvernementales ; ce qui selon toute vraisemblance, sera le prochain objectif de l’Armée arabe syrienne avant de demander aux forces étrangères illégalement présentes en Syrie de plier bagages.

Capture d’écran -carte google
Le gouvernement syrien a, depuis plusieurs semaines, accéléré l’élimination des terroristes de la banlieue de Damas, pour mettre fin au tirs d’obus sur la capitale, mais pas uniquement. Selon plusieurs sources, les services syriens auraient obtenu des informations de première main, selon lesquelles, les extrémistes armés étaient en contact avec des forces étrangères hostiles, à ce pays, dans le but de leur permettre de s’installer dans leurs fiefs, aux portes de la capitale. Ce que Damas et ses alliés ne pouvaient pas accepter.
Ici, un reportage de l’agence chinoise Xinhua (Chine Nouvelle) dont le correspondant était sur la ligne de front. Notez bien la terminologie utilisée par ce journaliste qui fait son boulot et comparez-la à celle, qui ne correspond plus à rien, utilisée par les média de l’Empire.
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