Ça serait peut-être le plus gros coup de l’armée et des forces patriotiques syriennes. Selon plusieurs sources médiatiques, elles auraient encerclé, depuis plusieurs heures, près d’Alep, plus de 1 000 terroristes de d’origine tunisienne appartenant à Daech. Non seulement ce contingent de mercenaires étrangers ne peut plus avancé, mais ses voies de retraite vers la Turquie, véritable plateforme du terrorisme mondial, ont été coupées par les troupes d’élite de Damas.
Ainsi prise au piège, cette horde de tueurs subit depuis des heures des bombardements massifs et incessants de l’armée de l’air syrienne.
Damas, Moscou, mais aussi l’Algérie et la Tunisie sont intéressés, au plus haut point, par la réduction de ce rassemblement de terroristes. Pour beaucoup d’entre eux, en effet, la Syrie n’est qu’une phase de leur préparation pour revenir assassiner, piller et détruire dans les pays du Maghreb et du Sahel.
L’information est confirmée à demi-mot par Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense qui vient de déclarer que près de 500 agglomérations syriennes, dans les provinces de Lattaquié et Hama, des villes de Homs et de Damas et de la région de Palmyre étaient presque entièrement libérées des terroristes.
Selon plusieurs sources, une quarantaine de raids aériens ont été également menés contre Raqqa, la capitale autoproclamée du soi-disant État islamique. Par ailleurs, dans la Ghouta orientale, région de Damas, des affrontements entre les groupes terroristes Faylak al-Rahmane, affilié à al-Nosra, la branche syrienne d’al-Qaïda et Jaïch al-Islam se sont soldés par la mort de dizaines de terroristes. Par l’intermédiaire de l’un de ses représentants, Mohammed Allouche, ce dernier groupe participe aux discussions de Genève
MaghNord 
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