Après deux nouvelles tentatives, les pourparlers de ce lundi pour la désignation d’un Premier ministre « indépendant », ont encore échoué et la poursuite des concertations sur cette question a été reportée sine die. Nous vous le disions dans notre édition de ce matin que l’intérêt d’Ennahdha qui se cramponne mordicus à la candidature d’Ahmed Mestiri, est de reporter cette échéance ad vitam aeternam. C’est la triste réalité alors que le pays est gangréné par le terrorisme ; un fléau qui, à présent menace les fondement de l’État tunisien. Désormais l’instabilité en Tunisie a deux alliés la violence extrémiste et les manœuvres dilatoires du parti islamo-conservateur qui a réussi à instaurer une véritable dictature du provisoire.


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