Profitant du coup d’État d’Erdogan et de ses alliés terroristes, les blindés de l’armée de Netanyahou franchissent la frontière syrienne et occupent déjà, un lieu hautement stratégique.
Israël devrait chaleureusement remercier Erdogan et les terroristes d’al-Nosra ; terroristes dont Tel Aviv avait déjà soigné plus d’un millier avant qu’ils ne soient défaits en décembre 2016 à Alep. Aujourd’hui, prétextant des risques que font peser sur leur sécurité les insurgés -leurs protégés d’hier-, les militaires de l’entité ont déjà franchi la frontière avec la Syrie au-delà du Golan. Ils se seraient même emparés du mont Hermon, un lieu hautement stratégique qui culmine à plus de 2 800 mètres d’altitude, au nord-est de Nabatieh, entre le Liban et la Syrie. Cette prise est très dangereuse pour le Hezbollah, désormais tenu en joue, sur ses deux flancs, depuis la mer et depuis le mont Hermon. Depuis, ce point, Israël contrôle également une partie des routes reliant Damas au sud de la Syrie.
Parallèlement, l’armée du prévenu Netanyahou a bombardé le centre de Damas, mettant en feu les édifices gouvernementaux. Cette même armée a également bombardé la base aérienne de Khalkhalah au sud de Damas.
D. S.
MaghNord 
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