Pas moins 150 victimes, tuées ou blessées, ont été enregistrées.
Hier jeudi en milieu d’après-midi, camp de réfugiés de Jabalia, quartier, avenue al-Haouaja, l’aviation israélienne cible un immeuble occupé. Le bilan est très lourd. Entre personnes tuées et blessées, le nombre des victimes s’élève 150 cas. L’information est rapportée par l’intrépide journaliste gazaoui Anas Jamal Sharif (AJS), l’un des rares professionnel de l’information encore présent dans le nord de l’enclave palestinienne. Il s’agit là de l’un des plus grands massacres commis par les hordes de Tel Aviv.
Dans cette zone de la bande de Gaza, la situation est d’autant plus dramatique qu’« il n’y a plus de services médicaux, plus d’hôpitaux, plus de médicaments, plus de protection civile et toute personne blessée connaîtra un sort fatal. Le nord de Gaza est anéanti (…) C’est l’un des massacres les plus horribles. Des dizaines de milliers de personnes sont encore encerclées ici. », relate AJS sur fond de coups de canons et de détonations de destructions à l’explosif de maisons, avant d’implorer le monde : « Sauvez le nord de Gaza ! »
Ce nouveau drame survient au moment où l’Unicef, relayées par l’ONU, accuse Ie régime de Tel Aviv de compromettre la santé des enfants palestiniens dans la Bande de Gaza en limitant leur accès aux soins médicaux.
D. S.



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