Jusqu’à quand l’humanité va-t-elle accepter d’assister à cette boucherie du régime de Tel Aviv sans broncher. Ce matin à l’aube, l’armée de l’air israélienne a encore bombardé l’école el-Fakhura dans le camp de réfugiés de Jabalia, gérée par le Nations-Unies, faisant 50 victimes. Des membres projetés des corps complètement déchiquetés, des enfants tétanisés, des pleurs, des cris, des décombres sur des corps inertes et/ou à moitié ensevelis, du sang, partout du sang, l’ONU dit avoir reçu des images de scènes « effroyables ». Pour ajouter du cynisme au crime et à la souffrance, Israël a effectué un deuxième bombardement sur ce même camp, faisant 30 autres victimes.
Par ailleurs, sans raisons compréhensibles, l’armée israélienne a ordonné l’évacuation de l’hôpital al-Shifa -2 000 patients-, le plus grand complexe médical de la ville de Gaza. Plusieurs observateurs n’excluent pas qu’Israël veut prendre le contrôle de cet hôpital pour les soins d’urgence de ses soldats blessés au combat.
Une moyenne de dix véhicules, par jour, sont détruits par les groupes armés palestiniens avec à la clé des dizaines de morts et de blessés.
MaghNord 
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