Le Saoudien Maged el-Maged, chef du groupe extrémiste les brigades Abdallah Azzam est décédé, à Beyrouth dans les services de l’hôpital militaire de Baabda. Blessé par l’armée syrienne dans les environs d’al Qalamoun, le chef terroriste est entré au Liban avec un faux passeport et s’était fait soigné à l’hôpital al Makassed à Beyrouth. C’est à sa sortie de cet établissement hospitalier que les services de renseignement de l’armée libanaise l’avaient repéré et arrêté le 26 décembre dernier.
Les brigades Abdallah Azzam avaient revendiqué le double attentat contre l’ambassade d’Iran le 19 novembre dernier.
La mort de Maged el-Maged, véritable argentier des groupes extrémistes qui se battent en Syrie, arrange tout le monde.
L’Arabie Saoudite s’était empressée de prendre ses distance du chef des brigades Abdallah Azzam, en clamant qu’il avait porté atteinte à ses intérêts, tout en s’opposant à la participation, à l’enquête d’une équipe de spécialistes iranien, sous le seul prétexte que Maged el-Maged est de nationalité saoudienne.
MaghNord 
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