Selon l’agence Nouakchott d’Information (ANI) qui semble désormais avoir ses entrées auprès d’AQMI (Al Qaïda au Maghreb Islamique), l’un des otages français détenus au Mali –nous ne donnerons pas de nom avant la confirmation officielle par les autorités françaises- aurait été exécuté par l’organisation terroriste le 10 mars dernier. ANI cite « un porte-parole » répondant au nom de « Ghairawani » qui aurait justifié l’assassinat du français au prétexte qu’il serait « un agent secret » et « en représailles à l’intervention française dans le nord du Mali ». Ce mystérieux Ghairawani aurait, par ailleurs refusé de confirmer ou d’infirmer la mort du chef terroriste Mokhtar Belmokhtar.


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